Le premier numéro nous ramène donc dans les glorieuses Eighties. Il se lit donc comme on regarde un blockbuster : confortablement installé, les yeux grands ouverts, une bonne quantité de junk food à portée de mains, à ceci près que l'on garde son sens critique en éveil. Vouloir ramener le lecteur dans les années 80, une mission. Qu'il ait connu cette époque ou pas, c'est lui offrir l'occasion de sentir l' ambiance d'un vidéo club, lui expliquer comment Don Simpson a révolutionné le cinéma moderne, lui raconter les frasques de Mötley Crüe, revoir l'Empire contre-attaque avec les yeux d'un enfant de 8 ans, interviewer John Carpenter et William Friedkin, lire une analyse de 8 pages du film Cobra avec Sylvester Stallone, revivre la montée en puissance de Run DMC, s'expliquer pourquoi Tom Cruise est devenu le roi du monde, etc.Ce numéro se veut la De Lorean du lecteur, le véhicule qui va le ramener dans le passé en le gardant fermement tourné vers l'avenir. Un vrai poème au 80's en somme.
Rockyrama numéro 1, c’est la finesse d’un Schwarzenegger alliée à la classe d’un Sonny Crockett.
En gros les 80’s comme on les aime. Des articles inédits par des plumes
comme Stephane Moissakis ou Rafik Djoumi, des interviews, un vynil 2 titres (pour la version collector),
des illustrations originales sorties de studios de renom, Rockyrama c'est le belle objet indispensable !
Et en plus l'ouvrage vous offre une superbe affiche d'Indiana Jones et le temple maudit.
Source photos: ROCKYRAMA
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